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Notre voyage en Floride (2013)

Notre voyage en Floride

Nous rentrons, mon épouse et moi, d’un beau voyage dans la région de Miami, en Floride.  Je passe tous les détails du voyage lui-même, très fatiguant, suite au manque de sommeil et aux 6 heures de décalage horaire.

 

La ville de Miami, dont je parle par ailleurs, comporte une partie moderne avec des immeubles tours particulièrement hauts.  A côté de ces tours, il y a des maisons simple rez-de-chaussée et des quartiers franchement misérables, notamment dans « Little Cuba », là où se sont réfugiés plusieurs milliers de cubains à l’arrivée de Fidel Castro à Cuba.  Dans ces quartiers, les lignes électriques sont aériennes.

 

C’est une ville assez fleurie, établie sur l’eau, sur des îles et de longues bandes de terre parallèles à la côte, comme à Miami - Beach.  Ces îles sont reliées par de grands viaducs – autoroutes.

 

Miami comporte également un grand port, bien connu comme point de départ de navires de croisières.  C’est sur les îles le long du port que se trouvent les villas des multimillionnaires américains.

 

Le temps est relativement chaud, même en hiver.   Nous nous sommes promenés fin janvier en T-shirt et pieds nus le long de la plage.  Il y avait entre 20 et 25°C.  Le temps était, en moyenne beau, mais nous n'avons eu aucun jour complet de ciel bleu.

La végétation est subtropicale : des plantes et des fleurs auxquelles nous ne sommes pas habitués : des cocotiers, des palmiers, des philodendrons, des bougainvilliers, des bananiers, et j'en passe.

Les oiseaux marins sont très semblables aux nôtres.  Parmi les autres oiseaux, il y a des Flamants roses, des Ibis blancs, des Pélicans bruns et des Quiscales des marais, qu’on ne rencontre en principe pas chez nous.

En dehors de la ville, en particulier dans les Everglades, on peut rencontrer des varans et des alligators et des tortues de Floride.  Nous étions là en hiver, ce qui nous a « privés » de la présence des moustiques et autres insectes piqueurs qui pullulent en été.

Ce qui est frappant en Floride, et probablement ailleurs dans les régions chaudes des Etats Unis, c’est l’usage immodéré des conditionnements d’air.  Dès qu’on entre dans un immeuble ou à bord d’une voiture, on est littéralement assaillis par un souffle d’air qui nous semble glacial.  Sans compter la dépense d’énergie et l’émission de CO2 que cela implique.  Les véhicules sont en général plus gros qu’en Europe et ils consomment globalement plus que chez nous, surtout avec le conditionnement d’air.  Il me semble que les américains sont peu attentifs aux problèmes de changements climatiques consécutifs à la combustion de produits pétroliers.

Une habitude américaine, c’est de calculer les prix bruts, sans taxe ni pourboires.  Un objet de 15$ finit par vous coûter 16$50.  Pour les taxis, comme dans les hôtels, il faut donner un pourboire.  Nous n’en avons vraiment pas l’habitude.

Ceci dit, le voyage à Miami en vaut vraiment la peine, surtout s’il est, comme pour nous, agrémenté d’une croisière.  Je vous parlerai de cette croisière dans un prochain article.

A bientôt

Jacques

24/02/2013

 



24/02/2013
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